Par la porte du bâtiment, l'air habituellement chargé de senteur des bains porte cette fois une odeur âcre. Près du bassin gisent des débris divers, sur les murs, la suie et la sève cachent les couleurs si agréables, le feu et la fumée ont remplacé l'habituelle douceur des bains.
Au premier étage, cachée dans un recoin de la pièce, une homine est allongée, prostrée et tremblante. Elle semble choquée, elle est très maigre et sa peau est noircie par la saleté et la suie. Elle gît là, recroquevillée sur elle-même, cherchant à se fondre dans les décorations du mur derrière elle. Ses yeux verts, grands ouverts, fixant le vide, elle semble incapable de parler.